Saut en tandem

Comment apprendre le parachutisme en 5 étapes

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Fixez une date et sautez !

Vous savez comment ça va ? On projette de le faire puis on ne le fait pas, et c’est comme ça depuis un petit temps. Alors fixez une date et sautez !

Et pourquoi pas proposer à quelques amis de vous accompagner dans l’aventure ? C’est toujours plus amusant de participer à la formation à plusieurs, et de la sorte, on peut se motiver les uns les autres et se serrer les coudes, au besoin !

Quand vous arrivez sur la dropzone, tous les parachutistes sont invités à signer une décharge de responsabilité stipulant que vous êtes conscient des risques encourus par la pratique du parachutisme et que vous les acceptez.

Cette décharge légale contient un contrat selon lequel vous vous engagez à ne pas traîner l’école ou n’importe qui, si vous êtes blessé. D’accord, ça peut paraître horrible mais si vous voulez sauter, il faudra bien signer.

Ce contrat comprend également une assurance en responsabilité civile, au cas où vous endommageriez les biens d’autrui, et une assurance accident.

La chute libre parait plus effrayante qu’elle ne l’est. En réalité, vous avez à peine la sensation de tomber quand vous sautez. Vous ressentirez le stress et l’excitation au moment où l’air circulera autour de vous. Etant donné qu’il n’y a rien dans notre cerveau qui puisse nous donner une référence au sujet de la chute, celle-ci sera ressentie comme si on flottait sur une colonne d’air.

« J’ai le vertige ! »

Ca c'est l'excuse la plus souvent invoquée pour ne pas sauter. Et bien figurez-vous qu'à 4000 mètres, il n'y a pas de vertige, pour la simple et bonne raison qu'on est beaucoup trop haut et surtout qu'on n'a pas de contact avec le sol.

Certains parachutistes expérimentés sont incapables de monter sur le toit de leur maison, et pourtant, ils sautent !

La sensation de « remonter »

Lorsque vous ouvrirez votre parachute, vous aurez l’impression d’être tiré vers le haut. Vous ne remontez pas, vous êtes juste en train de ralentir votre chute rapidement et c’est ce qui donne cette sensation.

Votre parachute peut être dirigé par un simple système de navigation : une poignée dans chaque main vous permettra de tourner à gauche en enfonçant la commande gauche, et de tourner à droite en enfonçant la commande droite. Vous vous dirigez là où vous voulez aller.

Dans les centres écoles modernes, vous pourrez entendre les instructions du sol grâce à un récepteur radio placé dans votre casque. Dans d’autres centres écoles, les moniteurs vous guideront du sol à l’aide de signes des mains, dès que vous approcherez du sol.

Tout ceci vous est bien évidemment expliqué pendant la formation au sol.
Quelle que soit la méthode utilisée, le moniteur vous guidera jusqu’à votre atterrissage en douceur.

Toutes les voiles écoles sont de type « ailes » (rectangulaires, contrairement aux anciens parachutes hémisphériques maintenant interdits). Elles sont suffisamment grandes, maniables et tolèrent les erreurs de pilotage. Ces grosses ailes permettent des posés calmes et doux. N’oubliez jamais que le saut n’est terminé que quand vous avez atterri de manière sûre. La majorité des accidents de parachutisme ont lieu pendant les atterrissage,s alors gardez ceci à l’esprit, écoutez votre instructeur, et profitez du voyage !

« Mais qu’arrive t-il si le parachute ne s’ouvre pas ? »

C’est toujours le risque quand vous sautez, mais si vous vous rappelez votre formation au sol et si vous gardez votre sang froid, vous devriez pouvoir arranger ça ! D’un point de vue légal, toute personne qui saute doit être équipée de deux parachutes, un principal et un de réserve (dit parachute de secours). Le réserve est votre seconde chance en cas de disfonctionnement du principal. Les technologies utilisées pour les parachutes de secours ont fait leur preuves depuis longtemps et sont parfaitement fiables. Tous les parachutes de secours doivent impérativement être dépliés, inspectés et repliés tous les 120 jours (tous les ans en France) par des plieurs habilités, les « riggers », même s’il n’ont pas été utilisés pendant cette période.

Utiliser son parachute de secours est quelque chose que vous devez faire si nécessaire. Vous y serez entraîné longuement pendant votre formation.

« Et si je suis inconscient pendant la chute libre ? »

Depuis quelques années, un système de sécurité supplémentaire est obligatoire sur les parachutes école.

Il s’agit d’un système d’activation automatique (AAD pour Automatic Activation Device), connu sous le nom de Cypres ou de Vigil. Cet AAD est un dispositif intelligent qui tient compte de votre vitesse de chute et de votre altitude par rapport au sol. Si à une hauteur déterminée, le système détecte que vous êtes toujours en chute libre et que vous n’avez pas encore déployé votre parachute principal, il extraira automatiquement le parachute de réserve. Ne comptez jamais sur votre AAD, faites ce qu’on vous a dit pendant la formation, mais rassurez-vous, un ange gardien veille sur vous.

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